Vous partez en Asie du Sud-Est? Voici les vaccins indispensables
Quand il s’agit de vaccinations de voyage, il n’y a jamais de solution unique. Les vaccins que vous choisissez sont spécifiquement adaptés à votre destination et aux niveaux d’exposition que vous pouvez avoir dans ces lieux. Si vous prévoyez un voyage en Asie du Sud-Est, en particulier la région Indochine comprenant le Vietnam, le Cambodge et le Laos, voici nos meilleures recommandations pour les jabs, vous devriez considérer:
Vaccin contre l’hépatite A
L’hépatite A est une maladie virale causée par des aliments et de l’eau contaminés et constitue l’un des risques auxquels les voyageurs sont exposés dans la région de l’Indochine. Il existe essentiellement trois types de vaccins contre l’hépatite A:
- Le vaccin monovalent – spécifiquement pour l’hépatite A
- vaccin combiné contre l’hépatite A et B
- Combiner le vaccin contre l’hépatite A et le vaccin contre la typhoïde
Consultez votre clinique de santé voyage afin que vous soyez bien informé sur le type de prise de vue spécifique, en fonction de votre destination et de votre itinéraire.
Vaccin contre le tétanos
Le tétanos est présent partout dans le sol et il est contracté par des blessures et des coupures. Le vaccin comporte une dose complète de cinq doses offertes dans le cadre des vaccins de l’enfance pour l’immunité à vie. Cependant, si vous soupçonnez que vous n’avez jamais reçu la dose complète, vous devez confirmer avec votre médecin et savoir s’il sera nécessaire d’en prendre un autre avant de vous rendre en Indochine.
Vaccin typhoïde
La typhoïde est également présente dans le monde entier, mais plus prononcée dans les zones ayant des problèmes d’hygiène et d’assainissement. Si vous êtes un mangeur aventureux ou si vous prévoyez d’interagir beaucoup avec les habitants lors de votre visite en Indochine, alors ce sera un vaccin hautement recommandé. Vous devriez prendre le vaccin un mois avant votre date de voyage, et des injections de rappel sont également recommandées une fois tous les trois ans si vous continuez à rester dans des zones à haut risque.